Collectif Liberté, Egalité, Justice (CLEJ)

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SPIP : le bras d'honneur du ministère

Communiqué du SNEPAP-FSU, 10 mars 2011. — Alors que « l’affaire de PORNIC » a mis l’ensemble des SPIP de France sous les feux des projecteurs, alors que les leçons de ce dramatique événement sont à peine tirées, alors que néanmoins, il est désormais évident pour tous que le suivi des peines en milieu ouvert ne peut en aucun être jugé comme accessoire, le ministère vient de réunir l’ensemble des organisations syndicales pour leur annoncer les arbitrages rendus dans le cadre de la réorganisation des instances de dialogue social. 
  • LE MINISTERE ANNONCE LA SUPPRESSION DE LA SEULE INSTANCE NATIONALE DE CONCERTATION POUR LES SERVICES PENITENTIAIRES D’INSERTION ET DE PROBATION !
  •  PLUS QUE JAMAIS LES PERSONNELS DOIVENT SE FAIRE ENTENDRE !
  •  RDV le 29 Mars 2011 à Paris !
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La France parmi les pires nations d’Europe en matière de libertés individuelles

Privacy France, 3 février 2011. — La semaine dernière à Bruxelles, trois organisations, dont Privacy International [1] ont publié les résultats de leur étude comparative sur l’état des libertés individuelles dans 32 pays d’Europe (les 27 pays de l’Union européenne plus la Croatie, la Macédoine, la Norvège, la Turquie et la Suisse), intitulé "European Privacy and Human Rights" (EPHR). L’Union européenne, en tant qu’organe politique influençant les politiques nationales, fait également partie de ce classement.

L’objectif de ce travail est d’établir un panorama européen en matière de respect de la vie privée et de protection des données personnelles, en analysant l’évolution des lois et régulations nationales ayant un impact direct ou indirect sur les libertés individuelles de chaque pays concerné.

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La LOPPSI 2 décryptée par le CLEJ

CLEJ, 4 octobre 2010. — Le projet de "loi d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure" (dite "LOPPSI 2") sera bientôt examiné en deuxième lecture à l'Assemblée nationale (*). 

Ce fourre-tout législatif contient de nombreuses dispositions qui heurtent les principes démocratiques et menacent les libertés individuelles. Le Collectif Liberté Egalité Justice (CLEJ) - qui regroupe depuis 2007 une vingtaine d'organisations politiques, associatives et syndicales - s'oppose fermement à cette nouvelle régression sécuritaire. 

Dans cette perspective, le CLEJ a rédigé un document de synthèse en 24 points décrivant de manière claire et précise les principales dispositions de ce projet de loi (tel qu'adopté par le Sénat le 13 septembre). 

URL du document : http://clej.blog.free.fr/public/pdf/LOPPSI2-synthese.pdf

(*) Suite au report de l'examen du texte à l'Assemblée à la fin du mois de novembre, le CLEJ reporte sa conférence de presse, prévue le 6 octobre, à une date ultérieure. 

7 septembre : appel à la grève contre l’injustice et la brutalité de la réforme des retraites

Sept organisations syndicales – CFDT, CFTC, CGT, FO, FSU, Solidaires, UNSA – ont appelé à une journée de mobilisation nationale mardi 7 septembre 2010 contre le projet gouvernemental de réforme des retraites. Le Syndicat de la magistrature s’associe à ce mouvement intersyndical de lutte contre une réforme socialement injuste, qui fait supporter l’essentiel des efforts par l’ensemble des salariés, aucune contribution significative des hauts revenus et des revenus du capital n’étant envisagée.

Cette réforme aboutirait à l’un des régimes de retraites les plus défavorables aux salariés en Europe, puisqu’elle touche à la fois à l’âge de départ à la retraite, porté à 62 ans, à l’âge de la retraite à taux plein, repoussé à 67 ans et à l’allongement de la durée de cotisation à 41,5 annuités. Le projet de loi examiné au Parlement à partir du 7 septembre ne répondra en rien aux problèmes d’emploi des seniors et aggravera encore les difficultés des jeunes pour accéder au marché du travail. Il pénalisera tous les salariés qui ont eu des carrières chaotiques, particulièrement les femmes (82% des travailleurs à temps partiel aujourd’hui), en les obligeant à travailler beaucoup plus longtemps pour bénéficier d’une retraite à taux plein.

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